Se dépuceler au Jet Ski à Sao Beach
Je t’avais manqué hein ?
Ne réponds pas, je t’entends vraiment moyennement. Mais tranquille, je sais que je suis ton influenceur préféré. ✌
Après une petite journée cool à Châu Đốc, nous avons décidé de partir à l’aventure du côté de Phu Quoc. Nous ? Hihihi, j’ai été rejoint par Benoit et Alexander, deux bons clients.
Phu Quoc, c’est une île au sud du Vietnam et du Cambodge. C’est pas hyper connu, même si il y a clairement beaucoup d’hôtels en construction. C’est un endroit en développement, on peut y voir de gros immeubles se construire, et des complexes hoteliers luxueux au bord de l’eau.
Sao Beach
Après avoir posé les sacs à l’hôtel, on a rapidement décidé d’aller à la plage, histoire de profiter du magnifique soleil qu’il y a ici.
Ce jour là, tout allait bien. On avait trouvé une petite dame qui vendait de la purée de banane frit, c’était hyper bon. L’hôtel était bien, pas cher. Le soleil était agréable, et la plage était digne d’une carte postale. Il y a des jours où je regrette d’être parti de chez moi, ce jour là n’en était pas un.
On se trouve donc rapidement une place sur un transat’, pour poser les affaires et se baigner. L’eau est claire, chaude et assez profonde pour nager un peu.
Rapidement je me lance dans un concours de poiriers avec les copains. C’est pas fameux, mais ça nous permet d’apprécier les poiriers d’autres touristes présents. En quelques secondes, on a réussi à baisser l’âge mental moyen de la plage de 15 ans.
Soudain, l’idée de génie
Entre un poirier et un concours d’apnée, Alexander remarque les jet ski et nous propose d’aller en faire. Aucun de nous trois en avait déjà fait, et moi je pensais que c’était inaccessible financièrement. On voit que c’est 1.600.000 dong pour deux jet ski pendant 20 minutes (plus ou moins 50 euro).C’est une somme, mais ça va. C’est toujours moins cher que d’acheter un jet ski. On se décide facilement et go arpenter les vagues à coup de scooter des mer !
On est devenu pote avec un cochon des plages.
On enfile les gilets, Benoît monte avec moi, Alexander prends un jet solo et on décalle.
Ok, c’est trop bien
J’avais jamais fais ça de ma vie. J’ai eu une révélation. Les sensations sont vraiment dingues. Chaque fois que je freine, y’a mon poids et celui de Benoît qui s’écrase sur le guidon. À pleine balle, le moteur fait un bruit de fou, la vitesse nous fait décoller des vagues, le vent siffle sur nos petites oreilles de mâles occidentaux privilégiés, on beugle comme des petits fous. C’est vraiment trop délire hihihi
On changeait de pilote toutes les 5 minutes, un coup c’était moi, un coup c’était Benoît. En pilote ou à l’arrière, les sensations sont là. On ne pensait pas qu’à deux dessus ça irait aussi vite.
En direct du jet ski
Une bien belle journée
Enfin bon, toutes les bonnes choses ont une fin. Cet article a une fin, j’aurais probablement une fin, et cette petite balade à jet ski a eu une fin. Alexander est lui tombé en panne à la fin, on a du aller chercher un des loueurs de jet ski pour qu’ils aillent le chercher. Ils avaient pas l’air content, déjà qu’ils avaient pas une tête aimable. Là c’était pas le moment de leur faire une petite blague.
On est donc retourné paisiblement faire des poiriers et des célébrations Fifa dans l’eau. On s’entraîne à faire la célébration « saumon », seuls les vrais savent.
Benoît maîtrise la célébration « saumon fifa ».La journée se termine tranquillement avec un couché de soleil de l’autre côté de l’île, donc il n’est pas sur la plage pour nous. Un petit tour au resto et on repart à l’hôtel pour préparer les journées suivantes.
Bonus : Le parachute ascensionnel
On a essuyé un petit fail en partant, puisqu’on a voulu, avec Alexander, faire du parachute ascensionnel. C’est un parachute accroché à un bateau et on fait quelques centaines de mètres dans les airs. On se propose, mais deux autres personnes étaient sur le point de partir. On attends patiemment notre tour.
Les deux personnes sont sur le point de décoller, ils sont en position. Le but est de tenir les cordes vers le haut et de courir, tous les deux à la même vitesse, jusque dans l’eau. Tic et tac s’élancent, et finalement, ne courent pas assez vite et cassent le parachute. C’est mort pour nous. Fin.
On a continué notre périple à Phu Quoc, on s’est aventuré en bateau dans les petites îles plus au sud, où je me suis dépucelé au snorkeling. Enfin bon, je te raconterais ça, si t’es sage, dans un prochain épisode.